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LA GENÈSE, LES MIRACLES ET LES PRÉDICTIONS SELON LE SPIRITISME > LA GENESE > CHAPITRE VI - Uranographie générale > LES LOIS ET LES FORCES > 11
11.- La nature n'est jamais opposée à elle-même. Le blason de l'univers
n'a qu'une devise : UNITE / VARIETE. En remontant l'échelle des mondes,
on trouve l'unité d'harmonie et de
création, en même temps qu'une variété infinie dans cet immense parterre
d'étoiles ; en parcourant les degrés de la vie, depuis le dernier des
êtres jusqu'à Dieu, la grande loi de continuité se fait reconnaître ; en
considérant les forces en elles-mêmes, on peut en former une série dont
la résultante, se confondant avec la génératrice est la loi
universelle.
Vous ne sauriez apprécier cette loi dans toute son étendue, puisque les forces qui la représentent dans le champ de vos observations sont restreintes et limitées ; cependant la gravitation et l'électricité peuvent être regardées comme une large application de la loi primordiale qui règne par-delà les cieux.
Toutes ces forces sont éternelles, - nous expliquerons ce mot, - et universelles comme la création ; étant inhérentes au fluide cosmique, elles agissent nécessairement en tout et partout, modifiant leur action par leur simultanéité ou leur succession ; prédominant ici, s'effaçant plus loin ; puissantes et actives en certains points, latentes ou secrètes en d'autres ; mais finalement préparant, dirigeant, conservant et détruisant les mondes dans leurs diverses périodes de vie, gouvernant les travaux merveilleux de la nature en quelque point qu'ils s'exécutent, assurant à jamais l'éternelle splendeur de la création.
Vous ne sauriez apprécier cette loi dans toute son étendue, puisque les forces qui la représentent dans le champ de vos observations sont restreintes et limitées ; cependant la gravitation et l'électricité peuvent être regardées comme une large application de la loi primordiale qui règne par-delà les cieux.
Toutes ces forces sont éternelles, - nous expliquerons ce mot, - et universelles comme la création ; étant inhérentes au fluide cosmique, elles agissent nécessairement en tout et partout, modifiant leur action par leur simultanéité ou leur succession ; prédominant ici, s'effaçant plus loin ; puissantes et actives en certains points, latentes ou secrètes en d'autres ; mais finalement préparant, dirigeant, conservant et détruisant les mondes dans leurs diverses périodes de vie, gouvernant les travaux merveilleux de la nature en quelque point qu'ils s'exécutent, assurant à jamais l'éternelle splendeur de la création.